Ce site pour mieux comprendre l’Histoire de France…

1. Histoire de France expliquée, mon objectif …

Voilà plusieurs années que je recherchais une façon simple d’expliquer et faire mieux comprendre les événements importants qui ont marqué l’Histoire de la France, avec l’objectif de vous rendre fiers de ce pays, en connaissant mieux son Histoire.

En 2023, à la veille d’une 3e guerre mondiale et fort probablement en France, d’une imminente guerre civile, j’étais envahi d’un intense besoin personnel d’essayer de comprendre les événements et les raisons qui ont pu amener, encore une fois, notre pays au 21e siècle, dans de nouvelles circonstances tragiques.

Conscient que pour cerner au mieux les causes, il me fallait au préalable bien maîtriser le passé historique de la France. Aussi, pour éviter de perdre une information essentielle, sans pour autant remonter trop loin dans une époque qui aurait peu d’incidence sur les événements contemporains, j’ai choisi de revisiter uniquement, mais en détail, les quatre derniers siècles.

Ancien officier de l’armée de l’Air française et ancien chef d’entreprise, j’étais, comme beaucoup d’entre vous, durant plus de quarante ans, principalement préoccupé par le quotidien. Bercé comme chacun, par les informations journalières des médias.

Longtemps, comme vous probablement, j’étais convaincu que les événements de notre histoire de France correspondaient aux diverses explications diffusées par les enseignants, sous la responsabilité de leur ministère de tutelle. Je n’imaginais pas alors combien le décalage était immense entre les messages diffusés par ces personnes et la réalité de l’Histoire de France.

J’ai pu aussi constater cette différence dans certains ouvrages réalisés par des auteurs « idéologisés », pour lesquels la vérité sur les événements historiques doit être travestie en vue d’imposer aux lecteurs une vision erronée du « Roman national ».

Mes convictions personnelles sur les aspects politiques et sociologiques furent progressivement bousculées, depuis les premiers attentats de 2015 en France. Les informations en provenance des politiciens et des médias me paraissaient de plus en plus largement décalées avec la réalité constatée.

Spontanément, le 17 novembre 2018, comme près de 2 000 000 de Français (et non 200 000 comme le disaient certains médias), j’ai manifesté sur un rond-point, pour la première fois de ma vie. Pour des millions de Français, la nouvelle taxe « écologique » et « idéologique » du gouvernement fut la goutte de trop.

Au cours de cette unique journée, j’ai rencontré et discuté avec de nombreuses personnes que je voyais pour la première fois. Nombreuses étaient celles qui, comme moi, manifestaient aussi pour la première fois.

Je me suis alors rendu compte que beaucoup d’entre elles partageaient les mêmes sentiments d’injustice grandissante et le constat du décalage entre les « élites », singées par de nombreux médias, et les « invisibles » qui souhaitaient uniquement vivre de leur travail.

Depuis la fin de mes activités professionnelles, ayant plus de temps pour lire et faire diverses recherches, toute mon attention fut, particulièrement ces cinq dernières années, consacrée à déceler la vérité sur les événements passés, pour mieux comprendre le présent.

Une conclusion certes encore partielle, de cette importante analyse basée sur les quatre derniers siècles, m’amena à une totale surprise, hélas inquiétante.

À la fin de la période de l’ancien Régime, après Louis XV, le roi Louis XVI subit lui aussi les fréquentes actions néfastes de blocage du bon fonctionnement de l’État, par de nombreux magistrats des principaux Parlements.

Ces « magistrats » (juges, avocats, etc.), défendront jusqu’au 21e siècle, leur pouvoir et leurs privilèges, en favorisant continuellement « l’État de droit ». Dans l’esprit de nombreux magistrats politisés, les « juges », intouchables et non-punissables, sont, indiscutablement, au-dessus de l’État, du gouvernement et du peuple.

Louis XVI fut ainsi progressivement contraint à la convocation des États généraux, entraînant la Révolution de 1789.

Hélas, les cinq Républiques qui découlèrent de cette Révolution ont à chaque fois failli, un constat discutable et pourtant si évident au 21e siècle.

La première République de 1792 n’a pu, en moins de dix années, trouver ses marques. Alors qu’elle était en train de disparaître, après seulement sept années d’existence, battue par les armées des monarchies européennes, elle fut effacée et très bénéfiquement remplacée par le premier Empire.

La seconde de 1848, née sur les cendres de la monarchie usurpatrice de « juillet » fut encore plus courte et inefficace. Elle fut effacée et avantageusement remplacée par le Second Empire.

La troisième République, la plus désastreuse et la plus longue avec une durée de 70 ans, fut à l’origine de nombreuses corruptions ou scandales d’État, mais aussi de la colonisation, tant critiquée au 21e siècle. Elle fut surtout, par l’impéritie, l’incompétence, l’irresponsabilité et le pacifisme viscéral des différents gouvernements de 1870 à 1940, responsable des deux guerres mondiales, avec leurs cortèges de résultats tragiques.

Cette République fut aussi responsable des nombreux conflits et désastres européens du 20e siècle, conséquences du mauvais traité de paix signé à Versailles le 28 juin 1919.

La quatrième République de 1946 à 1958, éphémère après la Seconde Guerre mondiale, ne put, elle aussi, trouver ses marques avec 22 gouvernements, en seulement douze ans, et appela, en désespoir de cause, le général de Gaulle à la rescousse.

La cinquième, pourtant mieux réfléchie dans sa conception et sa Constitution, fut la plus funeste. Cette République, après un bon début de quelques années, acheva en soixante ans, la dislocation du pays et de ses institutions fondamentales, dans une communauté européenne sans fondement ni avenir.

Hélas, après 1969, certaines « élites », aveuglées par leur idéologie, renoncèrent aux responsabilités régaliennes, affaiblissant ainsi considérablement la vieille nation. Ces « élites » diluèrent progressivement ces fonctions dans cette « communauté Européenne » jusqu’en 2024 et toujours au détriment de la France.

Comme dans l’ancien Régime, de nombreux « magistrats ou juges » de la cinquième République, en défendant le plus souvent, par idéologie ou par intérêt corporatif, « l’État de droit », ont grandement contribué à l’effondrement de la démocratie, en amplifiant la dépendance de la France à la « communauté et aux tribunaux européens ».

Les « juges » des tribunaux français ou étrangers ne sont pas élus. Ils nont donc aucune légitimité quant à leur intervention dans la gestion dun pays et, à plus forte raison, de la nation française.

Ces cinq Républiques ont, hélas, démontré d’une part, leur incapacité à construire et d’autre part leur volonté viscérale à détruire la nation française, ses institutions, son vieux peuple et son histoire millénaire.

En 1789, dans un élan de liberté, les « révolutionnaires » ont supprimé presque tous les impôts et taxes. Les républicains, enfants des cinq Républiques, incapables de créer la moindre richesse, avec un État de plus en plus obèse, n’ont cessé d’inventer chaque année de nouvelles taxes ou impôts. Ils poussèrent le vice jusqu’à imposer des taxes sur des taxes.

Au 21e siècle, la République française, championne du monde des prélèvements obligatoires et des impôts, a, en plus, réduit continuellement les services publics et la sécurité des Français. Au 21e siècle, avec un État obèse qui étouffe la République, le citoyen français est devenu esclave dans son propre pays.

Les civilisations, grecque et romaine, avaient compris, certes tardivement, mais avant nous et à leurs dépens, que la « République » n’était pas le meilleur régime pour qu’une nation survive et prospère.

Pour mieux comprendre la véritable mesure de cette étonnante conclusion partielle, il faut lire en détail chaque chapitre documenté et expliqué de ce site, et ce, jusqu’au dernier.

Pour m’aider à bâtir les nombreux chapitres, j’ai longuement étudié et parcouru, dans les moindres détails, de nombreux ouvrages de référence. Vous trouverez la liste de ces documents dans l’onglet « bibliographie ».

J’ai complété cette intense lecture par d’autres sources sur internet, comme celles de Wikipédia. Ces dernières ne sont pas toutes listées ici, car trop volumineuses.

Bien sûr, cette histoire de France a été construite au fil des 20 siècles après J.C. en partie grâce à des personnages qui ont participé et marqué profondément certains événements majeurs. Beaucoup d’entre eux, plus ou moins connus, ont contribué à construire positivement cette histoire de France, alors que d’autres ont plutôt abîmé l’image de la France. On ne refait pas l’histoire.

Il n’est pas rare de trouver des personnes au 21e siècle, qui imaginent, à tort, que la plupart des pays ont une histoire comparable à celle de la France. Celles-ci ignorent par exemple que des pays comme les États-Unis d’Amérique ou le Mexique, mais aussi l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, la Pologne, l’Algérie, l’Irak, le Canada ou la Suisse ont moins de deux siècles d’existence. Avant, ces pays en cours de formation n’étaient pas des nations ou des États indépendants.

Certaines personnes, depuis 1789 jusqu’au 21e siècle inclus, souhaitent réfuter des événements passés, ou les modifier uniquement par idéologie. Certaines d’entre elles souhaitent transformer, tronquer ou déformer le déroulé de certains événements passés, voire certaines actions de quelques personnages « ciblés ». Les événements, comme les personnages, font partie du passé. Connaître son passé permet de mieux comprendre le présent.

Si j’ai choisi de présenter, dans un premier temps, cette période de l’Histoire de France (de 1600 à 1945), à laquelle j’apporte ma vision personnelle, des principaux événements ou personnages, c’est parce qu’elle représente à mes yeux, la base essentielle des divergences d’opinions dans la société contemporaine française du 21e siècle.

Bien sûr, ces divergences peuvent être aussi culturelles, idéologiques, identitaires, corporatives, claniques, communautaires ou politiques, pour lesquelles, je me déclare incapable de soigner celles et ceux qui sont concernés. Lorsque la tumeur est trop profonde, il n’y a plus d’autre choix que de la « retirer ».

L’idéologie en « politique » est un mal dans la société française, né peu avant la Révolution de 1789 et qui perdure encore au 21e siècle. Ce mal s’est infusé progressivement d’abord au sein des Patriciens des sociétés bourgeoises ou aristocrates, grâce à leur participation aux « salons de discussion » dès le 18e siècle. Pour les membres de la plèbe, il aura fallu attendre 60 ans de plus, après la libéralisation du droit de réunion (campagne des banquets) en 1848.

L’idéologie en « politique » est un luxe pour certains intellectuels, nourris par le biais d’une culture uniquement livresque et partiale. Ceux-ci sont souvent malheureusement privés de l’intelligence, qui leur permettrait de trier le vrai du faux, mais aussi de l’expérience de la vie, de la société, de la famille, de la sociologie humaine et de la nature. Ces qualités, pourtant indispensables, font généralement défaut à ces « élites » ou ces « sachant » contrairement aux « sages » malheureusement de plus en plus rares ou trop discrets, au 21e siècle.

Cette idéologie est pareillement, hélas, le seul souffle d’existence de certains plébéiens, encartés dans des partis politiques, dits de « gouvernement » et privés, d’une instruction sérieuse, variée, d’intelligence et d’un minimum d’expérience de la vie.

Dans de nombreux pays d’Asie, d’Afrique et d’Orient, ces personnes du bas-peuple sont volontairement privées, par les pouvoirs en place, de l’éducation et de l’instruction, pour mieux les « contrôler » et imposer un type de société.

En France, au 21e siècle, l’idéologie en « politique » ressemble étrangement à une suite de « 49.3 » permanents et présente un visage d’une « dictature » travestie.

Dès le début du 21e siècle, ce « virus » s’est propagé à l’Ouest et a imprégné de plus en plus certains peuples des Amériques, au Nord (le Canada), au Sud (le Brésil) mais aussi au centre (les États-Unis). Plus rapidement qu’une pandémie, ce « mal » s’est enfoncé profondément au sein des sociétés dites « civilisées » viscéralement persuadées, hélas à tort, de détenir la science infuse.

Au 21e siècle, en France encore, certaines « élites » ou « sachant » ont de plus en plus souvent tendance à considérer le peuple « peu cultivé » à qui il faut « expliquer » certaines mesures gouvernementales. Il faut « l’éduquer » et faire preuve de « pédagogie ». Il s’agit là d’une méthode classique, fréquemment utilisée par des « élites » et certains « médias » inféodés, pour imposer une mesure ou une loi, non pas parce qu’elle est bonne pour le peuple, mais uniquement par idéologie.

Il faut reconnaître que ces « élites » font tout pour réduire à néant la culture et le savoir de ce peuple en France. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les résultats de plus en plus désastreux du niveau scolaire, dans le « primaire », le « secondaire » et même dans certaines universités, depuis 2001.

En plus de leurs actions irresponsables de destruction du niveau de culture générale des enfants et même de certains étudiants, des « élites » favorisent délibérément et à dessein électoraliste, depuis 1981, une immigration peu cultivée au détriment d’une immigration sélective.

Cette Histoire de France, tant enviée, jalousée, parfois combattue, est bien souvent critiquée, par certaines personnes, à l’extérieur de la France, mais aussi, depuis la fin du 20e siècle, directement dans certains de ses territoires.

Certes, cette Histoire, construite durant plus de deux mille ans, sur la royauté et la religion catholique, a été fort mise à mal, depuis la première République en 1792.

Mais la véritable « fracture » s’est surtout amplifiée 40 ans après la Révolution de 1789, précisément depuis la succession du dernier roi de France (Charles X) par un « roi bourgeois » (Louis-Philippe 1er, roi des Français) usurpateur du trône et le remplacement progressif de l’aristocratie par la « bourgeoisie » depuis 1830.

J’explique et je justifie mon avis dans les chapitres concernés sur ce site.

Depuis 1830, la gauche s’est « enrichie » de bourgeois, provenant de l’ancienne aristocratie, tels certains « orléanistes » ou « bonapartistes ». Ces derniers, depuis octobre 1873, devant l’impossibilité de replacer un roi sur le trône de France, se sont tout naturellement retrouvés chez les républicains « modérés » ou « radicaux » ou « opportunistes ». Ces derniers deviendront quelque temps plus tard, les républicains « progressistes ».

Cette gauche bourgeoise, étoffée de nouveaux « capitalistes » issus de la révolution industrielle, majoritaire au sein des républicains « radicaux » a progressivement verrouillé l’accès au pouvoir, à la gauche « révolutionnaire » ou « socialiste ».

Cette dernière, dont les rangs s’étofferont sensiblement à partir de la seconde révolution industrielle en 1900, essayera d’atteindre légalement les meilleures places du pouvoir, jusqu’au 21e siècle.

Cette gauche « révolutionnaire » ou « socialiste » plusieurs fois évincée, parfois injustement, par la gauche bourgeoise depuis 1830, tentera de revenir au pouvoir par la voie de la rue, des « barricades » ou des « ronds points » au 20e, puis au 21e siècle.

Cette gauche révolutionnaire « socialiste, voire communiste depuis 1919 » fut, depuis 1830, souvent « l’idiot utile » de la gauche « bourgeoise » y compris au 20e et au 21e siècle. Ce fut par exemple le cas en 1981, en 2002, en 2017, en 2022 et en 2024, où la gauche « bourgeoise » bénéficia encore des sacrifices réalisés par la gauche révolutionnaire et socialiste.

Au 21e siècle, vous entendez parfois des personnes se classer naïvement parmi les « républicains de droite ». Ceci est évidemment un oxymore, car être républicain, c’est avant tout être de gauche. La République s’est étoffée de plusieurs « niveaux de gauche » incluant de nombreux anciens membres de la droite « orléaniste » et « bonapartiste » depuis la IIIe République.

Une partie de ces derniers ont aussi rejoint, depuis 1919, le nouveau groupe du « centre » dans la IIIe République. Ceux-ci cependant, restaient essentiellement au « centre gauche ». La première République de 1792 a été proclamée par une gauche « révolutionnaire », essentiellement parisienne. Les autres Républiques l’ont été par une gauche « radicale » et principalement bourgeoise.

Au 19e et au 20e siècle, trois « branches » de gauche dirigèrent le pays de 1871 à 1958. Aux premières, la gauche « radicale » et la gauche révolutionnaire ou « socialiste » s’est invitée au concert, la gauche « communiste », après la révolution bolchevique d’avril 1917 en Russie. Après un soubresaut de 1919 à 1983, cette dernière s’étiola progressivement dans le paysage français, jusqu’à la limite de son extinction après les années 2000.

C’est pourtant certains événements de notre Histoire de France, qui ont servi très souvent de référence aux peuples en quête de liberté, de progrès ou de changement profond (Russie, Chine, Turquie et bien d’autres…). L’Histoire de la France nous montre que notre pays a souvent marqué durablement l’ensemble du monde, lorsque celui-ci maîtrisait son destin. C’est aussi, dans des moments glorieux, que la France était la lumière d’autres peuples ou de grandes nations.

 

2. Sur le plan Politique …

Or, depuis 1974, des « élites » françaises, parfois majoritaires dans différents gouvernements, ont progressivement abandonné et trahi la France, en la désarmant de son libre choix, bien souvent, pour de faux prétextes.

Pire encore, quand certaines d’entre elles, démunies d’honneur, trahissaient sciemment le peuple français, comme avec le référendum de 2005 sur la Constitution européenne, pourtant majoritairement rejetée. Pour ces « élites » lorsque le peuple ne pense pas comme elles, celles-ci cherchent à s’en « débarrasser » en le contournant ou en ignorant volontairement les lois fondamentales de la démocratie et de la République.

Les mêmes « élites » étaient aussi irresponsables, en provoquant, par naïveté ou par idéologie entre 2007 et 2012, une ingérence illégale, par une intervention militaire dans certains pays souverains comme la Libye, pourtant en paix. Elles ont contribué, en conséquence, au retour de plusieurs islamistes sur la scène mondiale. En ce sens, ces politiciens peuvent être considérés comme « complices » de ces islamistes.

Confronté à la dictature et à l’incompétence de nombreux chefs militaires au début de la guerre 1914-1918, Georges Clemenceau, républicain de la gauche « radicale » et bourgeoise, a émis une citation devenue célèbre : « La guerre, c’est une chose trop grave pour la confier à des militaires ».

Pourtant, ce sont bien les militaires français qui ont gagné la Première Guerre mondiale, sur les champs de bataille. Les politiciens de l’époque n’étaient, eux, en rien responsables de cette victoire, bien au contraire, ceux-ci restent responsables des désastres des débuts de cette guerre, pour ne pas avoir anticipé et préparé les armées françaises, à ce qui était devenu prévisible, une dizaine d’années avant 1914.

Ceux-ci furent aussi responsables, devant l’Histoire, du très mauvais traité de paix, signé naïvement à Versailles, le 28 juin 1919, par ces mêmes politiciens français, sous l’influence du président américain Woodrow Wilson, avec son programme en « quatorze points » sur l’autodétermination des peuples. Programme, dans lequel Wilson avait « plagié » le révolutionnaire russe Lénine, dans son programme marxiste de 1903. Le programme de Wilson fut rejeté par le Sénat aux ÉtatsUnis.

Wilson a pourtant été le premier président américain à ne pas respecter ce « droit à l’autodétermination des peuples » en envoyant des troupes américaines, pour déstabiliser certains gouvernements comme au Mexique dès 1914, puis en Amérique centrale, aux Caraïbes et au Nicaragua. Il sera suivi depuis, dans cette démarche conflictuelle, par plusieurs présidents américains et dans divers endroits du globe.

Ce traité de Versailles entraîna des conséquences financières désastreuses pour la France, pourtant victorieuse. Clemenceau, « fort » en 1917 et « faible » en 1919. S’il avait probablement mérité le surnom de « Père la Victoire » en 1917, il aurait aussi sûrement bien mérité le surnom de « Perd la Victoire » en 1919 à cause de ses responsabilités dans le traité de paix signé à Versailles.

La gauche « socialiste » dirigée par Aristide Briand en 1928, ne fera hélas pas mieux que la gauche « radicale » avec Clemenceau. Aristide Briand, le moins « brillant » des ministres de la IIIe République, céda aux Américains Dawes et Young en 1929, concernant la dette de guerre des Allemands vis-à-vis de la France, la réduisant presque à néant.

Aristide Briand permit ainsi de satisfaire les Américains, la Fondation Rockefeller et bien sûr les Allemands. Les Français subirent cette fois, par la grande naïveté et l’impéritie d’Aristide Briand, l’absence totale de dédommagement des trop nombreux dégâts causés par les Allemands sur notre territoire, pendant la Première Guerre mondiale.

Si la remarque personnelle de Clemenceau pouvait probablement se justifier, à son époque, compte tenu des premiers résultats désastreux, sur les différents champs de bataille de 1914 à 1916, malheureusement confirmée aussi, par les trop faibles compétences, de certains généraux, face à ce nouveau type de guerre.

Une autre remarque comparable, pourrait tout aussi bien se justifier de nos jours : « La direction d’un pays comme la France au 21e siècle est une chose trop sérieuse et trop complexe pour la confier à quelques politiciens ou énarques, trop peu fiers d’être Français, sans véritable culture de l’Histoire de France et surtout, sans aucune volonté de protéger la nation France et donc le peuple français ».

Gouverner, c’est anticiper. Pourtant, le manque d’anticipation et l’absence de préparation, à la guerre de 1914-1918, par les gouvernants de l’époque, comme ceux juste avant la guerre de 1939-1945, ont entraîné des conséquences particulièrement tragiques pour le pays. Ces absences d’anticipation et de préparation ont été aussi mauvaises, pendant toute la période de la pandémie du COVID-19 en 2020 et 2021.

Les résultats catastrophiques, pour chacun de ces événements, marqueront l’Histoire à jamais, même si certaines de ces « élites » ont la mémoire sélective, courte ou volatile et n’admettent aucune remise en cause, tel Robespierre sous le régime de la « Terreur ».

Certaines « élites » au 21e siècle, essayeront aussi d’utiliser la « méthode » de la terreur robespierriste pour le COVID-19. Ce fut aussi le cas pour essayer de « gérer » la situation économique catastrophique, conséquence partielle de la guerre Russo-ukrainienne, et surtout du choix présidentiel « quoi qu’il en coûte » augmentant très sensiblement la dette de la France.

Les causes réelles de cette situation catastrophique furent surtout les mauvaises décisions des gouvernements français depuis 2012, relatives à la production des énergies (réduction massive de la production par nos centrales nucléaires) et la désindustrialisation de la France.

Ces « élites » sans honneur et sans complexe, ont souvent renvoyé la responsabilité de leurs nombreuses erreurs sur le peuple français.

Remarquons au passage qu’à l’époque de la Première Révolution française, les « thermidoriens » ont eu, eux, le courage de se débarrasser enfin, en juillet 1794, des robespierristes. Ce qui entraîna une sensible amélioration de la situation en France durant les 30 années qui suivirent la Révolution, avec l’arrivée du Consulat et de la période faste et prospère du premier Empire.

 

3. Situation au 21e siècle…

Ainsi, je pense que ce site permettra de donner envie à chacun de se pencher, avec une meilleure compréhension, sur les événements présents, souvent en lien avec le passé historique de la France. Voire, pourquoi pas, d’imaginer un futur possible pour la nation française.

Car en effet, c’est la question essentielle qui est posée aujourd’hui : « Quel avenir pour la France, quel avenir pour notre nation, quel avenir pour les Français ?  » .

La situation de la France en 2024, membre fondateur, devenue hélas, inféodée à la communauté européenne et à ses tribunaux, montre un essoufflement critique, qui peut être réellement mortel, pour son avenir en tant que nation et pour toute son Histoire, pourtant millénaire.

Le peuple de France est à un carrefour, qui peut vraiment détruire définitivement son avenir, en tant que Français, dans les vingt prochaines années. Hélas, ainsi éteindre, voire effacer deux mille ans d’histoire, qui ont fait cette France du 21e siècle.

Cette situation catastrophique, devenue flagrante en matière d’éducation, d’emplois, de perte des industries et d’insécurité, s’est évidemment construite progressivement depuis 1970. De plus, on a pu constater, depuis 1993 (traité de Maastricht), une immigration exponentielle et sans contrôle, qui tend à un remplacement partiel et parfois quasi total de la population autochtone, dans certaines villes et certains départements.

Cette poussée incontrôlée de l’immigration légale et illégale a été suivie d’une accélération importante du déclin général de tous les services publics nationaux et territoriaux depuis 2015 (éducation, santé, police, justice, énergies, téléphonie, transports, pénitentiaire, formation professionnelle, etc.), année de début des plus importants attentats en France.

Comment imaginer qu’il puisse en être autrement, en 2015, avec un président « normal » incompétent en toutes choses de l’État, de la famille et de la société. Encore un président évidemment « formé » par l’ENA (École Nationale de l’Administration), totalement en déconnexion avec la vie réelle des Français.

Comme nous l’ont démontré plusieurs présidents et ministres depuis 1981, la règle très simple de mathématiques, probablement enseignée dans cette école, seule règle retenue par les politiciens, c’est que pour chaque problème, la solution hélas unique est « une taxe ».

La France est inconsciemment ou volontairement propulsée depuis 1970 vers les abîmes, par certaines « élites » biberonnées au « progressisme » ou au « wokisme » anglo-américain et à l’écologie idéologique.

Sans parler des services de défense (Armées), de plus en plus mis à mal, après la suppression du Service National, suivi de la sensible réduction, des effectifs, des sites (casernements, bases aériennes, fortifications, abris antiatomiques pour les populations, etc.) et des moyens (armements, munitions, avions, navires, drones, satellites, cyberprotection, défense aérienne, missiles hypersoniques, systèmes d’alerte généralisés, recherches, renseignement, etc.).

Certaines « élites » inconscientes des conséquences ou par idéologie vont même, depuis le début de la guerre en Ukraine, céder gracieusement aux Ukrainiens les rares équipements de nos armées (canons, missiles anti-aériens, chars, avions, etc.).

L’erreur de non-préparation et de non-anticipation se répète encore et encore au 21e siècle, alors que vient tout juste de débuter la guerre en Ukraine, pourtant totalement prévisible depuis 2014. Certaines « élites » françaises, uniquement par idéologie, entraînent progressivement la France dans ce conflit, qui peut malheureusement devenir « nucléaire » voire, à minima, déclencher la troisième guerre mondiale.

Au 21e siècle, nous revivons en direct les erreurs commises par les gouvernants français, hélas eux aussi tous de gauche, en 1870 et avant les Première et Seconde guerres mondiales (1914-1939).

Les autres pays (Chine, USA, Russie, Turquie, Israël, Inde, Iran, Corée du Nord, Corée du Sud, de nombreux pays islamiques extrémistes, etc.), font l’inverse, conscients eux des risques, pourtant évidents, ils augmentent sensiblement, chaque année, leur budget des armées.

Le cas échéant, ces pays seront prêts, nous non. Ils sont eux, attentifs à l’adage qui a fait ses preuves depuis des siècles, idéologiquement oublié par toutes les Républiques françaises, « si tu veux vivre en paix, prépare la guerre ».

S’il me semble encore capital aujourd’hui, d’être fiers de cette France, qui a mis plus de deux mille ans pour aboutir à ce que nous connaissons d’elle au 21e siècle, pour retrouver le destin divin qui lui a été confié, il est indispensable de lui retirer rapidement ses trop nombreuses chaînes et espérer de nouvelles « élites » plus « patriotes » et surtout moins naïves.

Je le proclame ici clairement, « la Nation est en danger de mort » : patriotes, réveillez-vous, avant qu’il ne soit trop tard !

 

4. Histoire de France expliquée, contenu du site …

Ma cible ici est et reste, principalement, ceux qui souhaitent simplement approfondir leur connaissance des faits réellement passés, ou plus particulièrement certains événements historiques, pour mieux comprendre le présent.

Pour qui le souhaite, vous trouverez à partir du menu « haut« , un accès à différents chapitres de l’Histoire de France, allant de « l’Ancien régime » (Louis XIII, Louis XIV, Louis XV et Louis XVI), période de quelques siècles précédant la première Révolution de 1789, à la fin de la Seconde Guerre mondiale 1939-1945.

La source principale, des textes présentés sur ce site, est issue d’une importante bibliographie, listée dans l’onglet « Bibliographie ». Une page personnelle « Contexte », a été ajoutée pour certains chapitres, afin de mieux comprendre le « pourquoi » et le « cheminement probable », des événements concernés.

Pour avoir une bonne compréhension des événements, dans les chapitres développés sur ce site, il est conseillé de les consulter successivement depuis le début et suivre l’invitation de lecture, en bas de chaque page-écran.

D’autres pages, dites « Articles de Blog », composées d’informations ou idées personnelles, sur les principaux chapitres ou personnages de notre Histoire de France et présentées sous forme d’Articles, ont été ajoutées. Celles-ci sont accessibles, via les menus « Articles récents » « Archives » ou « Catégories ».

**************************************************************************

Pour commencer la lecture, cliquez sur le chapitre « Ancien Régime » …